Naturopathie et médecine : une relation ambiguë
Dans le cinquième article de cette série, il s’agira d’explorer la relation ambiguë entre naturopathie et médecine…
Diététique végétale… mais pas que !
Dans le cinquième article de cette série, il s’agira d’explorer la relation ambiguë entre naturopathie et médecine…
Dans le quatrième article de cette série, il s’agira de présenter les cinq piliers de la naturopathie.
Grossophobie, sexisme, racisme, transphobie, classisme, islamophobie, validisme… Comment adapter notre prise en charge pour évoluer vers plus d’inclusivité en tant que diététicien.nes ? C’est ce que nous essayerons de voir dans plusieurs articles et vidéos à venir à ce sujet. Nous prendrons également un temps pour parler de végéphobie, bien que cela n’ait pas de lien direct avec les oppressions systémiques.
Dans le troisième article de cette série, il s’agira de présenter certains des éléments qui justifient l’attrait dont bénéficie la naturopathie.
Lorsqu’il est question de prendre en charge des personnes grosses, l’accompagnement proposé par les diététicien.nes se résume souvent à la mise en place d’un régime amincissant restrictif, sur fond de préjugés grossophobes. Tout cela ne bénéficie pas bien évidemment à nos patient.es. Alors, comment procéder autrement ?
Dans le deuxième article de cette série, il s’agira de définir les modalités pratiques de la naturopathie.
* ou du poisson, des œufs, des produits laitiers…
La recherche dans le domaine de la psychologie a permis d’identifier diverses stratégies mises en place pour résoudre l’inconfort qui résulte du désir de consommer de la viande… tout en se souciant des animaux. L’étude mentionnée dans cette vidéo explore cette dimension, en l’élargissant aux autres aliments d’origine animale : le poisson, les œufs et les produits laitiers.
Dans le premier article de cette série, il s’agira de définir dans les grandes lignes ce qu’est la naturopathie : sa définition, ses outils et ses prétentions.
Cette série d’articles a été rédigée avec la volonté de porter un regard détaillé et critique sur la discipline. Critiquer la naturopathie, en effet, mais je précise qu’il n’est pour autant pas question ici de remettre en cause les intentions louables des naturopathes, ni leur volonté sincère de prendre soin d’autrui. Il ne s’agit pas non plus de partir en quête d’une vérité absolue, mais d’alimenter des réflexions destinées à éviter de causer ou laisser perdurer des souffrances inutiles, de permettre à chacun.e de faire les meilleurs choix en termes de santé.
Lorsque l’on s’interroge sur les effets d’une pratique de soin, d’un régime alimentaire, d’un complément alimentaire ou tout autre intervention en rapport avec la santé, on pourrait être tenté.e de se fier aux témoignages que l’on reçoit. Car après tout, si tel régime a permis à votre voisine de perdre 20 kilos, c’est bien qu’il doit être efficace ? Et s’il existe des centaines de témoignages de personnes qui assurent que telle « médecine douce » leur a sauvé la vie, c’est donc bien que cela doit être vrai ? Et si tel médecin célèbre assure qu’il a guérit des milliers de patient.es avec sa méthode, c’est forcément vrai, n’est-ce pas ?