Stigmatisation des personnes véganes et « végéphobie »
Aujourd’hui je voulais vous parler brièvement de la stigmatisation des personnes véganes et de « végéphobie ».
Diététique végétale… mais pas que !
Aujourd’hui je voulais vous parler brièvement de la stigmatisation des personnes véganes et de « végéphobie ».
Que disent les végétarien·nes et végétalien·nes au sujet des aliments ultra-transformés tels que les substituts végétaux à la viande et aux produits laitiers ?
Aujourd’hui c’est la journée mondiale pour la fin du spécisme… l’occasion de définir un peu de quoi on parle quand on parle de spécisme, d’antispécisme, de suprémacisme humain, de sentientisme ou de véganisme.
Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas vous parler d’alimentation… Enfin si, un peu. Mais pas que. Puisqu’on va en fait parler de véganisme, à travers une revue critique du film « Carnage », réalisé par Simon Amstell en 2017. Ce n’est pas un format habituel mais j’ai eu plaisir à travailler sur ce qui ressemble un peu à un épisode de podcast, alors j’espère que vous aurez plaisir à l’écouter.
Quels sont les objectifs politiques que je me fixe dans le cadre de ma pratique professionnelle ? En voici 6 qui me paraissent importants à l’instant T.
Ça surprend parfois, mais quand on me sollicite pour perdre du poids, je ne propose pas de régime amincissant. Voilà pourquoi…
En m’appuyant sur deux ouvrages récents portant sur ce sujet, je vous propose un tour d’horizon des stratégies déployées par les lobbys agroalimentaires pour défendre leurs intérêts économiques au détriment de la santé publique : entourloupes scientifiques, campagnes de dénigrement, recours juridiques, silenciation des opposants, influence exercée sur les décideurs politiques, campagnes de valorisation de l’image des entreprises etc. On abordera notamment l’exemple de l’opposition au Nutri-Score à travers le récit de Serge Hercberg, mais pas que…
Des chercheureuses ont mené une étude pour préciser le profil idéologique des personnes qui se revendiquent de l’anti-véganisme. Les résultats confirment ceux déjà observés dans de précédentes études, avec notamment une forte idéologie spéciste, une défense des rapports de domination sociale (notamment à travers des stéréotypes sexistes), une défiance conséquente envers la science, une posture de relativisme moral et des pratiques consistant à rire de la souffrance des autres (notamment avec l’humour de dénigrement). Les chercheureuses font le parallèle avec la tendance des personnes anti-véganes à se situer à droite de l’échiquier politique et livrent quelques pistes de réflexions intéressantes…
Une consultation nationale ouverte à l’ensemble des diététicien.nes diplômé.es, pour recueillir nos avis sur la pertinence (ou pas) de créer une institution ordinale et un ou plusieurs syndicats spécifiques à notre profession sera bientôt organisée par le GRAD. Mais pour y participer… il faut s’inscrire avant le 16 février 2024 !
Grossophobie, sexisme, racisme, transphobie, classisme, islamophobie, validisme… Comment adapter notre prise en charge pour évoluer vers plus d’inclusivité en tant que diététicien.nes ? C’est ce que nous essayerons de voir dans plusieurs articles et vidéos à venir à ce sujet. Nous prendrons également un temps pour parler de végéphobie, bien que cela n’ait pas de lien direct avec les oppressions systémiques.